Négociations

Vous êtes tous ici conviés afin de parvenir à la réalisation d'un véritable traîté de paix actualisé et tenant véritablement compte de la situation. Il va sans dire que le Massachussets Bay et sa piètre performance auprès de Londres a été écarté et pourra obtenir gain de cause lors d'une paix séparée. Ici, Londres daigne vous accorder la considération à laquelle auront droit les chefs d'états. Soyez bien au su de cette concession. La première règle est la suivante: il ne faut sous aucun prétexte s'emporter en une volée argumentative. Seconde règle: aucun comportement ne favorisant pas la progression du traîté ne sera toléré. Troisième règle: les gouverneurs étant tenus coupables de propos dégradants à l'endroit d'un parti adverse ne seront pas tolérés. Toute infraction à une règle sera passible d'exclusion pure et simple du traîté. Une paix séparée devra donc être négociée avec les bélligérants en question.

Londres vous propose donc de commencer en exposant vos revendications. Tout excès mégalomane sera reçu comme une insulte à la couronne. Que chaque colonie ait le privilège de s'exprimer tour à tour sur ses propres considérations.

La Nouvelle France demande de recevoir le Cap Breton comme prévue initialement ainsi que l'Acadie française qui comme Londres le sait certainement est habité par un grand nombre de français. Ce qui est des plus logiques du fait qu'il y a encore quelques décennies ces terres furent notre, c'est donc celons ce droit jadis que nous en faisons la demande via ce traité de paix.
Nous aimerions aussi que le traité de paix qui fut jadis signé entre la Nouvelle-France et Londres soit revue. Nous aimerions que l'interdiction d'expédition soit levée. En échange de cela la Nouvelle-France assure la paix à Londres, la paix pour les 30 prochaines années le tout ratifier par un traité.

Aux vues de la situation en Caroline, la Caroline du Sud pense que la clause la concernant dans le traité précédant n'a nul besoin d'être modifiée.

Nous voulons justeque vous reconaissez et déclarez que nous sommes indépendant et pour cela nous sommes ouvert même de perte une part de nos terres.

Le gouverneur est heureux de voir que le Roi souhaite entamer une discussion avec les colonies.
Mes honneurs.
Le Maryland désire rester indépendant, c'est tout ce qu'il revendique. A part peut être une aide financière pour la reconstruction du pays ?

Nous voulons juste notre indépendance et pas continuer nous battre contre Londres.

Vous avez déjà exprimé précédemment dans le même sujet vos demandes, nul besoin de les répéter, alors s'il vous plait, laissez les autres gouverneurs s'exprimer.

La Floride désespère devant la lenteur des négociations et l'entêtement de certains.

Angleterre, vous connaissez nos revendications.

Connaître les votres, pas ceux des autres colonies, Londres en doute à la lumière de la paix séparée que vous avez souhaité négocier.

Dès que l'issue de la paix séparée avec la Floride aura été entérinée, Londres émettera, en amalgamant vos revendications toutes, une nouvelle proposition qui sera sujette à discussions.

Si une colonie le souhaite, elle peut dans cette section-même négocier une paix séparée, mais au final elle n'y gagnera pas nécessairement plus.

Bonne chance.

Voici donc la proposition de Londres.

- Est levée pour la Nouvelle-France l'interdiction de procéder à des explorations vers le nord. Sont rétrocédés aux mêmes autorités Louisbourg, le Cap-Breton et la partie nord de la colonie de la Nova Scotia (Port-Royal inclue, Canso exclue). Tous les Acadiens Français seront forcés d'intégrés ces régions pour ainsi régler la problématique récurrente de laquelle ils sont l'origine. Ils seront ainsi déportés sans conditions.

- Sont réintégrés à l'Empire Britannique toutes les colonies insurgées qui se verront contraintes suite au prochain édit colonial d'adopter la Charte.

- Amnistie pour tous les révolutionnaires à condition qu'ils prêtent à nouveau serment à la couronne et qu'ils résignent à toutes leurs possessions terriennes. (Plantations, résidences, territoires)

- Tous les bélligérants s'engagent à maintenir la paix durant une durée de dix années.


Que les colonies qui acceptent ou refusent les clauses susmentionnées se manifestent sans plus tarder. Il semble que la clause sur l'amnistie soit une occasion à saisir pour chacun d'entre vous sachant que sans quoi votre temps vous est compté.

Le Maryland ne signera jamais ce traité, il souhaite son indépendance.
Et si vraiment les choses n'évoluent pas, je propose à l'Espagne ou la France de devenir leur colonie.

Vivre libre ou mourir.

Nous mourrons donc.

Le gouverneur du West Hudson répéte encore une fois que nous n'avons plus rien à perte mais Londres oui donc nous signons pas ce traité.

Nous signons ce traité dès à présent.

La Louisianne signe ce traité et rapatrie ses 17 soldats, qui seront soignés du mieux que possible en Louisianne.

Le Maryland tient à rajouter quelque chose :

Londres, les gouverneurs du Maryland n'ont cessé d'être à vos pieds pendant des décennies et des décennies, mais maintenant voyez comme vous les dégouttez. Trop de concessions pendant trop longtemps suivit d'aucun remerciement matériel, au bout d'un moment nous en avons marre.
Alors écoutez moi bien bande de sauvages métropolitains, votre traité de paix vous pouvez vous le mettre dans les fesses, parce que je ne le signerai pas.
Je suis tout simplement accablé. Tant de morts, tant de victimes, tant de destruction. Tout ça pour des colonies, alors que vous êtes un pays si grand. J'espère que vous avez la conscience tranquille, je ne l'aurai pas à votre place.
Le gouverneur est conscient qu'il n'y a plus d'issu, la France et l'Espagne, ces deux traîtres, ne sont plus là pour nous soutenir. Il sait qu'il risque de mourir, mais Dieu sait que je meurs dignement. Pendant que vous vous gagnez en lâche.
Vous avez détruit nos colonies, vous avez massacrés des familles, tout ça pour des terres. Vous auriez très bien pu accepter notre liberté à certaines conditions, mais vous n'y avaient même pas pensé, vous entamez les négociations quand vous êtes sur le point de gagner.
Intelligent mais lâche. Honte à vous.

Mais enfin, je ris tout de même, s'ajoute à votre lâcheté, une faiblesse notable risible, rien qu'à savoir que pendant plusieurs années, pendant la guerre, vous avez eu du mal à rappeler à l'ordre quelques colonies. Imaginez à quel point vous êtes ridicules, faites donc la loi dans votre pays si vous ne savez pas la faire ailleurs.
Mes amitiés à Londres. Nous sommes poli tout de même...

Gloire aux colonies qui résistent !

Enfin, n'avez-vous pas eu ce que vous méritiez? Vous n'avez pas encore tout à fait retenu la leçon il semble bien, car pour vous contestation de la suprême autorité de Londres n'est toujours pas synonyme de répressions.

Votre insubordination aura entraîné des conséquences. Il n'y a que cela. Si vous souhaitez persister malgré tout, faites comme vous le désirez.

Un beau jour, les colonies d'Amérique ne vous appartiendrons plus. J'espère être en vie pou voir ça...