Stratégies face aux insurgés

Ayant fais revenir mes soldats de la Nouvelle-France pour envahir le Massachusset, je change les ordres de ceux-ci:

500 soldats iront aidé Londres à envahir le Massachusset et 500 autres plus les miliciens s'étant portés volontaires défendront sans vraiment tenter de prendre des territoires la frontière que je partage avec le Connecticut.

Maintenant que nous avons 1500 soldats supplémentaires sur le dos, la Métropole serait-elle plus ouverte à envoyer plus de troupes ou négocier avec ses alliés?

La métropole dispose de réserves de troupes suffisantes à toute éventualité. Sur ce plan, vous n'avez rien à craindre.

Plus de 3.000 soldats s'embarquent sans plus tarder vers Cromwell au Delaware, encerclé par l'ennemi, dans le but avoué de prendre Annapolis le plus rapidement possible. Nous avons le soutiens de la population et des démocrates.

La victoire est nôtre d'avance.

Sachez que vos gains après celle-ci seront hors de toute espérance.

Je remercie la Métropole, cependant, nos ennemis feront en sorte que leurs alliés leurs envoie également plus de soldats, surtout que l'espagne semble vraiment déterminé, ou encore ils convaincront d'autres européens de les aiders...

Cependant, je me remet au jugement de la Métropole.

Maintenant que Boston est prise, je rapelle mes 500 soldats du Massachusset qui s'atèleront à défendre ma colonie contre le Connecticut.

Ne retirez vos troupes pas trop hâtivement! De tels procédés vous auront valu la perte de Louisbourg. Boston est encore trop fragile pour être délaissée; votre colonie n'étant pas en grands dangers, vous pouvez toujours attendre l'arrivée de quelques renforts supplémentaires, ne croyez-vous pas?

Dans ce cas, mes soldats resteront encore jusqu'à ce que Boston soit plus fiable.

Selon Londres, encore combien d'années faudra-t-il pour stabiliser le Massachusset?

En son entier ou seulement la région de Boston?

Avant tout, il faudra contrôler ladite colonie en sa totalité pour pouvoir fournir une estimation exacte.

De plus, il faudra vous attendre à recevoir un flux de loyalistes dans votre colonie. Plusieurs loyalistes de colonies sécessionistes fuiront leur lieu de résidence, et vous serez l'hôte de nombre d'entre eux. Tenez-vous en informé.

Seulement la région de Boston.

En ce qui concerne les loyalistes, la plupart d'entre eux seront-ils prêt à joindre les milices jusqu'à ce que l'on repousse l'ennemie du Plymouth?

Les loyalistes seront plus que prêts; ils n'attendent que cela.

Sinon, une année de plus devrait suffire à ce que nous conservions Boston, à moins bien sur que l'ennemi ne précarise nos positions.

La guerre s'annonce bien, cependant, nos possessions au MAryland et en Acadie se voient de plus en plus conquis par nos ennemis... Si la Métropole ne peut envoyer plus d'hommes, peut-être faudrait-il enfin demander de l'aide à d'autres nations européennes?

Il semble que la situation en Acadie (Terres qui sont vôtres en grande partie) soit de votre faute, de votre retrait hâtif de Lousibourg et de Nouvelle-France. Si problème il y a, réglez-le, car en pressant Londres pour partir de Boston vous ne redorez pas votre blason de stratège auprès de votre métropole.

Pour ce qui est du Maryland, dès que les choses auront débloqué à Philadelphie, nous pourront sans problèmes prendre le dessus. Croyez-moi, il faut seulement là être patient et la victoire sera nôtre.

Bon, je retire 50 soldats de Boston et 50 soldatsb pour ne pas trop alléger les fronts, pour un total de 100 soldats qui iront directement en Nova-Scotia pour repousser l'ennemis.

Cela semble-t-il mieux au yeux de Londres?

Même si je m'attend à un refus, voici tout ce que j'ai trouvé à part mes renforts pour sauver la Nova-Scotia, c'est extrême, je le sais, mais c'est l'une, sinon la seule solution vraiment viable pour le moment:

Si la Nova-Scotia s'unissait à la NEBA, votre cessation ne compterait plus puisque la NEBA n'a justement pas de cessation et cela vous permettrait de lever des troupes et de récolter à nouveau vos taxes... De plus, comme mentionnez dans notre coalition , j'ai déjà envoyé 100 soldats, donc, si vous pouviez à nouveaux lever une armée, ce serait bien, très bien même... Cependant, c'est en ami que je vous propose cela et je ne le prendrais pas mal, étant moi aussi un gouverneur, si vous ne vouliez pas abandonner votre poste.

Voilà une stratégie qui semble beaucoup plus appropriée aux yeux de Londres. Qu'elle soit réalisée sans plus tarder.

Pour ce qui est de la Nova Scotia, bien que la situation soit criante, elle préfère ne pas agir trop hâtivement. N'ayez crainte, elle est au su de vos bonnes intentions, et n'est point en colère suite à votre juste suggestion.

Toutefois, la guerre terminée, un édit colonial bien senti risque de changer bien des choses aux frontières de ce coin d'Amérique, si vous comprenez ce que Londres sous-entend par là...

Bien entendu... Je remercie Londres.

Pouvons-nous nous permettre de nous départir de quelques centaines de soldats(entre 200 et 500) et de nos flottes des fronts Acadiens afin de lancer une attaque décisive sur Louisbourg? Si nous prenons la forteresse, cela minera l'avancée des français en Acadie et nous donnerait un sérieux avantage... Ce serait une sorte de quite ou double.

Tout cela au prix d'un débarquement incertain et de la potentielle perte d'Halifax? C'est très risqué, mais Londres vous laisse le champs libre pour élaborer vos stratégies.

Bien... Alors, que 500 hommes soit mobilisé parmi les troupes Acadiennes avec nos flottes et l'attaque est lancer dès cette année... On a rien sans risques.

Hum... Dernière chose, Londre croit-elle que l'Espagne, la Nouvelle-Espagne et la France peuvent encore envoyer des renforts supplémentaires?

Sans aucun doute, si le coeur leur en dit.

Mais nous sommes actuellement trop puissants sur le terrain pour nous en laisser imposer, n'est-ce pas?
Et de plus, si la victoire à Annapolis est nôtre, il n'y aura plus grand chose à craindre de nos ennemis.

D'accord, voilà qui nous met sous un vent favorable pour la guerre.

Bon, notre défaite à Annapolis nous met dans une fâcheuse posture...

Donc, même si Londres est peut ouverte pour se faire, Sa Majesté nous accordera-t-elle le droit de négocier avec d'autres nations maritimements puissantes afin de mettre les flottes espagnoles(et la Nouvelle-Espagne, si possible) hors d'état de nuire et ainsi couper les Espagnoles d'une parti de leur approvisionement, à défault de leur demander de l'aide directement en Amérique?

De plus, demander pour l'emprunt de quelques navires au Hollandais, au Danois ou autre est toujours moins onéreux et exigent que leur demander des renforts...


Humblement, le Gouverneur du Plymouth et de la NEBA

Que tout soit clair. La réponse est non et demeurera définitivement non. La Grande-Bretagne, le plus grande empire de par le monde, ne risquera pas l'humialiation de devoir demander secours à ses alliés pour venir calmer de simples révoltes dans ses colonies, oh ça non. La guerre de succession d'Autriche tire à sa fin, et vous verrez que le raz-de-marée de renforts inespérés qui partiront de nos ports vous fera ravaler toute aspiration à vouloir en requérir trop hâtivement à d'autres métropoles Européennes.

Bonne nouvelle, nous avons gagné notre pari et avons pris Louisbourg... Cependant, pour que notre avantage demeure, j'enverrais 200 soldats supplémentaires à Halifax pour que la ville tienne et pour en finir. Il restera donc tout de même 700 soldats disponibles pour la Métropole pour la guerre plus au Sud.

Cependant, j'aimerais ajouter au débat précédent qu'il s'agit plus d'une guerre entre vous, la France et l'Espagne que d'une "simple révolte". Lorsque plus de la moitié des soldats ennemis sont sous les ordres de vos ennemis européens, je crois que cela tient d'avantage d'une guerre entre européens que d'une "simple révolte".

Il est vrai que l'implication des métropoles Européennes change la donne. Londres est toutefois fortement incertaine que l'attitude que vous proposez, celle consistant à recourir à des alliés, est la bonne.