Insurrection de Schenectady (1705-1718)

1705

L'annexion du East Hudson Territory, minuscule territoire Anglais à très forte majorité Néerlandaise, par le Connecticut aura causé le tollé général dans la seul et plus grande ville du petit territoire; Schenectady. La population Néerlandaise locale et la population noire qui partage la même langue ou un créole en étant issu s'est massée dans la cité où l'insurrection s'est déclenchée dans les premiers mois de l'année. La population Anglaise fut violemment chassée dans les campagnes environnantes alors qu'un faible nombre de soldats du Connecticut envoyés en renfort fut incapable de reprendre la ville aux mains des rebelles.

1706

Nouvelle année d'insurrection sur les rives de l'Hudson, bien différentes de ce qu'elles étaient il y a un demi siècle à peine. La riposte Anglaise fut moindre, les ordres du gouverneur du Connecticut et les renforts d'autres colonies pour mater la révolte n'ayant pas encore eu le moindre effet faute de réactualisation et d'existence. C'est ainsi que la petite bourgade de plus d'un millier de résidents s'est maintenue indépendante une année de plus, laissant en pan les populations Anglaises, dont plusieurs chassées s'installant plus au sud au Connecticut ou la sécurité et une vie meilleure semble de mise.

1707

Bien rapidement grâce à de nombreux renforts à la fois du Connecticut et du West Hudson Territory, Schenectady fut isolée de tout contact extérieur alors que le siège devenait pour la première fois en trois ans suffisamment préoccupant. L'étau se resserre sur la cité, ou la mobilisation populaire est cependant encore trop importante pour céder aux attaques extrêmement pressante de l'ennemi. Ce qui permet à Schenectady de tenir en dépit des centaines d'attaquants postés aux limites de leur ville, c'est surtout la mobilisation de plusieurs esclaves d'expression néerlandaise vivant sur l'autre rive de l'Hudson, devenu possible grâce à un généreux financement extérieur apparant.

1708

Violences dans les régions agricoles bordant l'Hudson au West Hudson Territory, où furent financées les rébellions des noirs néerlandophones largement majoritaire dans cette région voisine de Schenectady. Outre un blocus sur le front du fleuve amoindri, les répercussions sur le siège de Schenectday furent de peu d'importance. La ville, toujours cernée, continue de tenir avec difficulté, alors que la famine et les pénuries s'installent au même moment que les attaques du Connecticut se font plus insidieuse et violentes. La survie de Schenectady dans l'année à venir dépendra directement du succès des potentielles rébellions au West Hudson Territory, sans quoi c'en sera bien rapidement terminé de cette affaire.

1709

Éclosion d'une rébellion majeure près des rives de l'Hudson dans le West Hudson Territory. Grâce à de généreux fonds monétaires, les agitateurs purent rallier à leur cause la population, des armes et suffisament d'approvisionnement. En plus d'être une révolte majeure pour le salut du Néerlandais dans cette région, c'en est aussi une pour la liberté des esclaves en quelque sorte. Les troupes du West Hudson Territory n'affrontèrent les rebelles que lors de peu d'occasions, dont ils ressortirent défaits sans grande conséquence. Actuellement, hors des terres agricoles concernées, la révolte fait peu de vague ailleurs sur le territoire, et quelques rebelles ayant traversé le fleuve pour prêter main forte à Schenectady, cette dernière pu de peine et de misère résister aux assaults Anglais toujours plus violents, pénétrant toujours plus profondément dans la cité avant d'être repoussés avec difficulté. La situation de Schenectady, malgré ce sursit, demeure plus que précaire. Crise à White Plains, lorsque plus de deux cents soldats Néerlandais se faisant passer pour des immigrants furent débusqués près d'une cache d'armes. Pour le moment, les troupes du Connecticut, affairées dans le nord, n'ont pu calmer le jeu dans cette petite bourgade à quelques kilomètres de New York qui se trouve farouchement sous contrôle Néerlandais, en dépit de leur objectif qui est de joindre Schenectady.

1710

Alors que l'insurrection de Schenectady dégénère en une rébellion majeure des Néerlandais dans la région de l'Hudson, au niveau diplomatique se déclenche une crise entre le New Haarlem et le Connecticut, ce qui ne va pas pour favoriser une résolution rapide et aisée du conflit. Forte du support massif des esclaves Néerlandais rebellés Outre-Hudson, Schenectady put tenir une année de plus aux attaques Anglaises demeurant fortement préoccupantes. Ces dernières, en dépit de toutes les stratégies les plus ingénieuses, se voient toujours dans l'impossibilité de prendre la ville où demeurent solidement ancrées toujours plus de miliciens. De plus, grâce à la rébellion au West Hudson Territory, toujours réprimée inefficacement à ce jour, l'approvisionnement est de nouveau possible à Schenectady depuis maintenant deux années. Au West Hudson Territory, la population Afro-Néerlandaise soulevée continue d'agir en pleine rébellion de manière complètement autonome, ripostant sans difficultés aux attaques des troupes du West Hudson Territory. La capitale de ce territoire, Swaanendael, est même menacée par les attaques rebelles. À White Plains pu être constatable un nouveau débarquement de miliciens Néerlandais mal armés et trop nombreux avant que la petite ville soit cernée et que les deux navires ayant emporté ces hommes, portant le pavillon de pirate, ne soient repoussés au cours de batailles maritimes disparates. Le Connecticut encercle désormais White Plains, et malgré la présence là de paysans Anglais, bombardent incessament la petite bourgade. Cependant, le millier de miliciens présents dans la ville assiégée devient rapidement suffisant à faire inexorablement reculer les troupes Anglaises.

1711

Nouvelle année de conflit près de l'Hudson. À Schenectady, les troupes Anglaises réussisent à s'emparer presque un mois de la cité avant de devoir essuyer une sévère défaite suite à la riposte de centaines de miliciens s'étant réfugiés sur l'autre rive de l'Hudson. La situation devient de plus en plus chaotique aux abords de Schenectady, les escarmouches se multiplient et les combats sont incessants. Sur l'autre rive, le West Hudson Territory affiche une incapacité chronique à bien défendre ses positions et la capitale du territoire, Swaanendael, se retrouve en grands danger. La population afro-Néerlandaise se constitue une milice toujours plus imposante, dépassant rapidement le millier d'hommes, réussissant même à perturber à cause de l'étendue des combats à perturber le commerce plus au sud, à New York. À White Plains, les miliciens s'avérant être autant Néerlandais que Suédois sont tués par centaines par les bombardements Anglais qu'ils réussissent cependant à stopper périodiquement. Plusieurs hommes réussissent à quitter la ville encerclée et à se fondre parmi la population dans le but de joindre les zones de combat plus au nord. White Plains est cependant dans une situation fortement précaire. Jusqu'à présent, on dénombre une centaine de militaires Anglais tués depuis le début de la guerre, près du double en rebellés Néerlandais plus au nord, et plus de quatre cents miliciens prisonniers d'une White Plains litérallement anihilée par les bombardements Anglais.

1712

Swaanendael tombe aux mains des rebelles opposant une résistance d'ores et déjà plus farouche. L'administration du West Hudson Territory se voit contrainte à la fuite. Schenectady est désormais bombardée incessament, et des ruines qui témoignent des années s'étant écoulées depuis le début du siège de la ville continue de se mouvoir un flot incessant de milices venant combattre les troupes du Connecticut qui furent incapables de conserver la ville plus de la moitié de l'année. À White Plains, les massacres se poursuivent, mais la diminution drastiques de soldats ennemis à l'intérieur de la ville permis aux Anglais de relâcher les bombardements. Près d'une centaine de miliciens en auraient profité pour se fondre à la population dans le but de joindre les zones rebellées près de Schenectady. Au nord, la mise en place de nouvelles stratégies mobilise une grande partie des milices Afro-Néerlandaises responsables des pillages de l'année précédente au nord de New York.

1713

Schenectady n'est plus qu'un tas de ruines fumantes et dépourvue de structures habitables. La population décimée se vit contrainte de fuire la ville complètement anihilée, et de se réfugier principalement à Swaanendael, de l'autre côté de l'Hudson, où le West Hudson Territory demeure incapable de reprendre le dessus sur les rebelles. Les Anglais sont à nouveau maîtres de White Plains, et la fin des hostilités à Schenectady force les miliciens Néerlandais s'étant fondus à la population à joindre Swaanendael. L'Empire Britannique en son entier déclare la guerre à la Confédération de New Haarlem cette année, déjà plongée dans une profonde crise suite à l'envoi au Connecticut d'une grande partie de la population active. C'est tout un tumulte que causèrent les premiers débarquements à New Haarlem, où la situation déjà tendue explosa, empêchant à cause de la réduction en miettes du tissu social une maîtrise complète par les Anglais du nord de ce petit territoire qu'ils ont tenté d'occuper cette année.

1714

La région de l'ouest de l'Hudson demeure complètement autonome et irréprimée une année de plus. L'intégrité du territoire du Connecticut hors de tout doute préservée cette année pour la première fois depuis une décennie, les combats se résumère à repousser les forces du West Hudson Territory, sans trop causer de tort à un camps ou à un autre. De nouvelles frappes au nord de New York continuent toutefois d'inquiéter. Une année de plus il fut difficile pour les Anglais de garder le contrôle de Nyasverigestad et de New Haarlem, toujours à feu et à sang à cause de révoltes multiples. Le Stathouder se serait exilé comme une grande partie de la bourgeoisie locale à Nieuwe-Breda, encore épargnée par les attaques Anglaises.

1715

Voilà maintenant dix années que la présence Néerlandaise en Amérique est la cause d'un nouveau tumulte généralisé au sein des possessions Anglaises. Près de l'Hudson, le rythme des combats s'est à nouveau amenui cette année; les troupes du West Hudson Territory préparent une riposte pour déloger les rebelles toujours bien ancrés aux environs de Swaanendael et de l'Hudson. Près de New Haarlem, les Anglais opèrent un blocus sur la région pour tenter de contrôler la population encore incontrôlable. Débarquement Anglais à Nieuwe-Breda, qui coïncide avec l'arrivée massive de troupes Françaises en quête du même territoire. La faible population Néerlandais et Suédoise eu tôt faite d'être soumise, sans que l'ensemble du territoire ne soit occupé. Plusieurs aristocrates et riches commerçants regagnent les Provinces-Unies. Le Stathouder de New Haarlem n'a toujours pas été retrouvé.

1716

Les rebelles de l'ouest de l'Hudson durent essuyer plusieurs violentes répliques de la part du West Hudson Territory, dont ils occupent une partie du territoire. Cependant, amputée de ce bassin de population révolté, l'armée décimée dudit territoire sans capitale essuya de nouveau revers et ne pu reprendre possession des territoires perdus. Actuellement, une véritable société s'initie aux abords de Swaanendael, et la rumeur ajoute qu'une nouvelle colonie pourra être instaurée pour accomoder ces derniers lors du très attendu prochain édit colonial de Londres. Au New Haarlem, la situation commence à se calmer tandis que Nieuwe-Breda est presque entièrement occupée. Il est clair que la situation est apocalyptique pour la Confédération. Le Stathouder demeure cependant introuvable.

1717

Malgré la rumeur de ripostes armées de la part du Connecticut, la région de l'Hudson toujours sous contrôle rebelle pu évoluer sans tracas extérieur une année ou presque. Alors que les Anglais ne semblent pas très pressés de porter un coup final à la révolte, il semble que les rebelles Néerlandais ne soient pas plus enclin à aller récolter les vastes territoires mal défendus s'étendant vers l'ouest. Il faudra donc attendre pour plus de développement les années à suivre, qui peut-être seront porteuses de nouveautés plus intéressantes pour ce qui est de ce conflit qui perdure depuis une douzaine d'années.

1718

Londres intervient pour finalement sceller la paix dans une Amérique troublée. Les Néerlandais rebelles plus au nord se voient confiés une colonie élargie mais sous le giron Britannique, tandis que le sort de la Confédération de New Haarlem, désormais inexistente, est tout aussi scellé. C'est ainsi qu'après tant d'années de tumultes peut être résolu l'insurrection des Néerlandais en Amérique du Nord.

Je propose à ces rebelles, fondateurs de leur nouvelle colonie, d'intégrer notre confédération Néérlandaise, afin de mieux s'intégrer en Amérique et acquérir leur indépendance.

Pourquoi donc les Anglais sont si belliqueux et expansionnistes ?

Nyasverigestad a écrit:Je propose à ces rebelles, fondateurs de leur nouvelle colonie, d'intégrer notre confédération Néérlandaise, afin de mieux s'intégrer en Amérique et acquérir leur indépendance.

Les rebelles acceptent d'intégrer la fédération, mais souhaitent vous informer que malgré leur farouche volonté de vaincre les Anglais et d'assurer leur indépendance, la chose n'est pas encore gagnée.

Reste que la majorité de la population noire du West Hudson Territory est d'expression néerlandaise ou d'un créole apparant, et qu'avec un support monétaire substantielle pourrait y être fait la propagande suffisante à les rallier à notre cause? Seriez-vous prêt à supporter vos frères de la sorte, en l'occurence nous, ô stathouder de New Haarlem?

Le nombre de Soldat du Connecticut au East Hudson Territory sont immédiatement augmenter à 100 soldats, des navires devront mouiller sur l'Hudson pour séparer le East et le West Hudson Territory.

Toute personne s'oppossant au force Coloniale seront éliminé, cette rébellion doit être réprimé.

Nous demandons au West Hudson Territory de protéger sa frontière avec le East Hudson Territory, c'est-à-dire, l'Hudson.

Nyasverigestad, si vous vous mêlez de ceci, vous serez déclaré ennemie du Connecticut et dons, de la Couronne Britannique.

Nous rappelons nos 50 soldats envoyé à la guerre avec d'autre colonie!
Nous avons besoin de vous! Car il nous reste que trés peu pour nous défendre!

Nous demandons aux anglais des pourparlers. Nous vous proposons de l'argent en échange de la liberté de ces rebelles. C'est bien ce qui vous manque, non? Du territoire, vous en avez bien assez comme cela...

Nyasverigestad, si vous vous mêlez de ceci, vous serez déclaré ennemie du Connecticut et dons, de la Couronne Britannique.

Vous, vous êtes très mal placé pour tenir ce genre de propos. Je détiens des preuves selon lesquelles vous n'êtes pas quelqu'un en qui l'anglais puisse avoir vraiment confiance, si vous voyez de quoi je vous parles. Si j'étais vous, je m'écraserais. Vu?

De quoi parlez vous ?

Je vendrai peut-être cette information à votre métropole, avec les preuves suffisantes, si le Connecticut m'en donne l'occasion.

Londres veut savoir de quoi il s'agit.

Si c'est la même information qu'elle détient d'une autre colonie, les choses risquent d'aller bien mal pour le gouverneur concerné...
Si vous ne dites rien, c'est pour vous que les choses iront bien mal, cela va de soi.

Le Nyasverigestad semble avoir des informations très vieille, mon Roi, je peu déclarer que le Nyasverigestad à aider l'ancien Gouverneur du Connecticut pour l'idée folle qu'a eux l'Ancien Gouverneur, l'indépendance du Connecticut.

Vous ne saviez pas que le Complot que le Gouverneur du Connecticut à tramer avec vous avais été découvert par mes soins?

Mon Roi, que le Nyasverigestad soit déclaré ennemie de la couronne pour avoir aidé un traitre.

La métropole souhaite avant de rendre sa décision, presque déjà prise avec somme toute un certain doute, obtenir la réponse de la colonie de Nyasverigestad.

Une lettre recommandée a été envoyé au roi d'Angleterre.

Pour le reste, comme je l'ai dit, que vaut une pauvre ville pour vous? Absolument rien, surtout qu'elle n'est pas spécialement grande. Je peux la racheter à n'importe quel prix.

Si c'est la même information qu'elle détient d'une autre colonie, les choses risquent d'aller bien mal pour le gouverneur concerné...

Tiens tiens, je n'étais pas la seule sur cette affaire on dirait...

HJ: désolé, je ne suis plus aussi présent qu'avant.

Qu'en dîtes vous? Combien l'empire colonial anglais souhaiterait il recevoir pour une malheureuse petite ville de rien du tout?

Ce n'est pas tant une question d'argent que de fierté: je ne crois pas que ce soit une bonne chose que chaque rébellion puisse s'en réchapper parce qu'une colonie avec laquelle nous entretenons des relations douteuses décide de faire un maigre don d'argent.

Londres ne s'impliquera en rien dans l'actuel rébellion qui a lieu à Schenectady.

Et annonce à la fois aux gouverneurs du Maryland et du Connecticut que ceux-ci sont sous enquête.

Si le stathouder de New Haarlem souhaite acheter à un quelconque prix le territoire en question, il se devra de traîter avec son légitime propriétaire, à savoir le gouverneur du Connecticut.

Je peux offrir 1000 $ ou plus pour racheter ce territoire, mais je veux cette terre.

Qu'avez vous à faire d'un terrain qui pourrait servir aux espagnols et français pour mener de futures opérations contre vous? Vous prenez des risques en mâtant cette rébéllion, face à la France et l'Espagne. N'est ce pas?

Le Gouverneur du Massachussets fait part qu'il a depuis le début été contre les actions du Connecticut et donc, il ne s'impliquera en rien dans cette guerre.

Plymouth a écrit:Ce n'est pas tant une question d'argent que de fierté: je ne crois pas que ce soit une bonne chose que chaque rébellion puisse s'en réchapper parce qu'une colonie avec laquelle nous entretenons des relations douteuses décide de faire un maigre don d'argent.

Pas un maigre don d'argent, mais avec 1000 $ l'angleterre pourrait s'étendre et gagner bien plus de territoire que ne lui offrirait le Schenectady. Vous ressortiriez tous grands gagnants de cette révolte.

Comme le Connecticut à été contre vous dans la Guerre que vous avez enclanché contre la Nouvelle-France, vous êtes contre moi lorsqu'une rébellion éclate?

Mon Roi, si je suis vraiment sous enquête, vous vous êtes trompé de Gouverneur, le Gouverneur du Massachusset dit lui-même qu'il est contre que je réprime une révolte dans les terres de l'Empire et qu'il est donc, contre votre propre parole, n'est-ce pas La Couronne qui ma autoriser à réprimer la rébellion? Honte à vous Gouverneur du Massachusset...

De quoi j'ai affaire de se territoire Gouverneur du Nyasverigestad? Se territoire est situé en plein centre des colonies Anglaises, vous laissez cette terre équivaudrait à vous laisser entrer en plein milieu des terres Anglaises. Pourquoi parlez-vous de la France et de l'Espagne? Prendre des risques? Avez-vous une once de savoir en géographie?

Connecticut a écrit:Comme le Connecticut à été contre vous dans la Guerre que vous avez enclanché contre la Nouvelle-France, vous êtes contre moi lorsqu'une rébellion éclate?

Mon Roi, si je suis vraiment sous enquête, vous vous êtes trompé de Gouverneur, le Gouverneur du Massachusset dit lui-même qu'il est contre que je réprime une révolte dans les terres de l'Empire et qu'il est donc, contre votre propre parole, n'est-ce pas La Couronne qui ma autoriser à réprimer la rébellion? Honte à vous Gouverneur du Massachusset...

De quoi j'ai affaire de se territoire Gouverneur du Nyasverigestad? Se territoire est situé en plein centre des colonies Anglaises, vous laissez cette terre équivaudrait à vous laisser entrer en plein milieu des terres Anglaises. Pourquoi parlez-vous de la France et de l'Espagne? Prendre des risques? Avez-vous une once de savoir en géographie?

Ecoutez, vous avez perdu en essayant de convaincre l'Angleterre, vous avez perdu, un point c'est tout. Reconnaissez votre défaite. J'avais bien trop de preuves pour que vous puissiez désabuser votre métropole.

Pour la géographie, je m'en fiche un peu. Si vous aviez du savoir, vous sauriez qu'en cas de "brêche dans vos terres, vos ennemis pourraient en effet rejoindre le Schenectady.

Pour finir, je ne vois pas pourquoi vous m'en voulez. Etants tous deux protestants, nous devrions nous soutenir. Je peux offrir l'accès à mes ports aux navires anglais si vous voulez. Quyant au libre passage, est ce véritablement un obstacle?

Nous verrons bien mon "ami", nous verrons bien...

Ce n'était pas ce genre de réponse à deux sous que je voulais avoir avoir, mais des négociations sur la dite indépendance du Schenectady.

Non mais regardez vous: vous pourriez vous offrir des explorations qui feraient de vous une puissance coloniale imbattable avec 'largent que je peux offrir pour cette indépendance.

Londres laissera la liberté de choix à chacune de ses colonies pour ce qui sont des négociations à venir.

Le Massachussets Bay n'a donc à craindre aucune représaille s'il souhaite négociations. Mais que tout soit bien clair; laisser partir à l'ennemi potentiel ce risible bout de terre à problèmes ne devra pas se faire contre une poignée de sous.